La confiturerie Sainte Julienne au Cameroun

Yaoundé, Cameroun Confiturerie Sainte-Julienne

L'entreprise Confiture Sainte-Julienne, basée au Cameroun, est spécialisée dans la production et la vente de confitures artisanales à base de fruits produits localement. Pour satisfaire son développement elle a besoin d'un prêt de 11 500€, remboursé dans 2 ans, soit en septembe 2015, à 3% d'intérêt annuels.



Notre partenaire SIAD, convaincu de la viabilité de ce projet, s'engage à accompagner son associé principal et fondateur Polycarpe NOAH, le gérant Francis Bikele et leurs 7 autres associés dans la réussite de ce projet.

Notre partenaire le SIAD qui soutient les initiatives de développement économiques dans les pays du Sud a identifié ce projet pour sa viabilité, son sérieux, son gros potentiel de développement et sa dynamique positive actuelle et à venir pour l’économie et l’environnement local :

+ une activité à l’implantation solide : l’entreprise existe depuis 1999 et son chiffre d’affaire a progressé de 64 % entre 2010 et 2011, et de 96 % entre 2011 et 2012.
+ un projet créateur d'emplois localement : 7 salariés permanents et 4 saisonniers assurent  une production artisanale.
+ une activité respectueuse de l’environnement qui fournit des débouchés à l’agriculture paysanne traditionnelle locale et n’utilise que de la pulpe de fruits, du sucre et du jus de citron pour produire la confiture. Les pots en verre sont recyclés.
+ des co-fondateurs expérimentés, porteurs d’un projet de développement à long terme (des investissements sont prévus et budgétés en 2015 et 2016 cf business plan complet dans l'onglet Documents).

Contexte

La confiturerie Saint-Julienne et le Siad ont identifié que le marché des confitures au Cameroun présente des opportunités à saisir du fait de la grande consommation par différents segments (ménages, restaurants, hôtels, boulangerie/pâtisserie, etc.).
La production globale du pays ne satisfait pas 1/10eme de la demande locale, ainsi le marché est dominé par la présence des produits importés dont la teneur en fruit est très faible (50% maximum contre 65 % pour les confitures Saint-Julienne), qui sont confectionnés avec des produits chimiques et aux prix de vente peu accessibles pour une consommation de masse.
Dans ce contexte, toute la production actuelle de la confiturerie est vendue, le marché est très prometteur.

Objectif du projet

Augmenter la capacité de commercialisation et améliorer les produits existants, développer de nouveaux produits et pénétrer de nouveaux marchés.
1) Compter  au moins 5 grands hôtels, 20 restaurants et 4 supermarché à Yaoundé dans le portefeuille client et 2 hôtels et 10 restaurants à Douala tout en fidélisant la clientèle actuelle
2) Réaliser un chiffre d’affaire minimum de 2 000 000 FCFA par mois en 2014 et 2015 et passer à au moins 3 500 000 FCFA chaque mois après 2016.

Quelles sont les étapes de ce projet ?

La première étape est la stabilisation de la production qui passe par le ravitaillement en matière première et en emballage en constituant des stocks, aujourd’hui insuffisants au déploiement de l’activité.
Une dotation en fonds de roulement mettra la confiturerie à l’abri des spéculations du marché des intrants (prix et disponibilité des fruits et du sucre fluctuant en fonction des saisons) et permettrait de stocker des emballages et des matières premières pour 3 à 4 mois.
La deuxième étape consiste à l’achat d’équipement pour améliorer les produits et permettre une meilleure productivité.

A quoi servira l'argent ?

Le besoin en financement à crédit, qui s’élève à 7,3 millions de francs CFA, vise à renforcer le besoin en fonds de roulement, constituer des stocks et améliorer les outils de production avec de nouveaux équipements.

A propos du porteur de projet

La Confiturerie Sainte Julienne a vu le jour en 1999, lorsque Polycarpe NOAH, qui était le responsable de l’unité de fabrication et de commercialisation des confitures du Monastère du Mont Fébé, quitte les moines pour s’installer à son compte, après le départ du Père Ambroise et celui du Père Eugène, qui militaient dans la promotion de cette activité.
En accord avec le Père Supérieur du Monastère, Polycarpe décide de reprendre la fabrication et la commercialisation des confitures et rachète quelques matériels et équipements.
Il décide de former un groupe dynamique et ambitieux qui se constitue en GIC (Groupe d’Intérêt Commun) pour réaliser le projet.
Le gérant de la société, BIKELE Francis Gaétan, n'est autre que le fils de Polycarpe.



Vous devez être connecté pour visualiser ces informations.

Vous devez être connecté pour visualiser ces informations.